"Je ne suis pas souple, puis-je pratiquer ?"
La souplesse est relative !
Faire le grand écart n’est absolument pas requis pour la pratique du Karate-Dô que nous proposons.
Chacun s'entraine et s’améliore avec ses propres qualités et contraintes.
"Ne suis-je pas suis trop vieux pour commencer (ou recommencer) ?"
Il n’y a pas d’âge pour se faire plaisir.
Les cours, même s’il s’agit de cours de groupe, sont quand même adaptés par les instructeurs à chaque personne, en fonction de son âge, de sa condition physique et de sa situation.
"Je serai la seule femme car il ne doit y avoir que des hommes !"
Beaucoup de femmes en France et dans le monde pratiquent le Karate-Dô.
Au Dôjô de Senlis, ¼ des élèves sont des femmes !
"J’ai peur de me blesser, c’est une activité violente …"
La pratique du Karate-Dô s’inscrit à long terme. L’intégrité physique et psychologique des pratiquants est donc essentielle ; les contacts pouvant entrainer des blessures sont donc strictement interdits.
De plus, une des notions primordiales est ce que l’on appelle le « contrôle », c'est-à-dire la réalisation de sa volonté. Comme chacun a besoin de partenaires pour parfaire son Art, chacun a la volonté de ne pas blesser l’autre, tout en s’entraînant de façon dynamique.
"Ne vais-je pas être ridicule ?"
Il faut savoir que tout les pratiquants sans exception ont commencé un jour … par le début.
Notre Dôjô est une école de Karaté, il est donc normal de ne rien connaître lors de ses premiers pas.
Au contraire, venir essayer, c’est déjà progresser, c’est déjà avoir combattu sa peur de l’inconnu.
De plus, l’esprit de « groupe » est aussi très important, car quelque soit notre grade ou notre expérience, nous sommes tous élèves de cet Art Martial.